La leon première génération avait réconcilié les clients avec la marque espagnole. Sous un style très allemand, la compacte de SEAT avait convaincu. C’est sous une nouvelle robe, très inspirée des Altea et Toledo, que la nouvelle Leon est lancée quasiment en avant première mondiale. Doté d’un style beaucoup plus intense, la nouvelle Leon mise tout sur son esthétique originale et la sportivité. 
 
 Seat a semble t’il trouvé sa voie stylistique. Depuis le Concept Car Salsa, et surtout depuis l’arrivée de Walter Da Silva, transfuge de Alfa Roméo, les Seat d’aujourd’hui sont dessinées selon le même thème. A tel point, qu’il est difficile, même pour un oeil exercé, de distinguer les 3 soeurs (Leon, Altea et Toledo) dans le rétroviseur. De ce designer qui a éagelement oeuvré sur l’Alfa 147 on retrouve les feux en arrière étirés, les poignées de porte arrière intégrées dans la vitre de custode et les flancs dessinés comme les flancs d’un bateau. Bref, la ligne de la Leon est sculptée, et se plait à afficher ses formes à la lumière tombante.
Plus basse de 11 cm et plus longue de 4 cm, que l’Altea, cette nouvelle compacte n’en oublie pas pour autant l’habitabilité. Par rapport àl’ancienne version la nouvelle est plus longue de 14 cm.
Plus basse de 11 cm et plus longue de 4 cm, que l’Altea, cette nouvelle compacte n’en oublie pas pour autant l’habitabilité. Par rapport àl’ancienne version la nouvelle est plus longue de 14 cm.
 
 Auto Emocion
A l’inérieur, un peu comme les BMW d’antan, le tableau de bord fait la part belle au conducteur de part sa légère orientation vers ce dernier et par la position de conduite parfaite et ajustable sur tous les plans. Le volant très vertical tombe bien en main et annonce tout de suite la couleur. Mais le sentiment premier est celui de ne pas se sentir véritablement dans une Seat. En effet, les traditionnels plastiques durs laissent place à un revêtement un peu plus tendre et des matériaux mieux assemblés. D’autre part, l’instrumentation rappelle les plus belles sportives italiennes. Surtout au niveau de la console assez massive reprenant un écran multi fonction pour l’autoradio CD et MP3. Néanmoins, notre modèle d’essai été affublé d’un couinement derrière le volant. L’instrumentation semble provenir tout droit des plus belles italiennes. En revanche, comme une auto passion point de place pour de nombreux rangements. A part, les vides poches des portières et sous le siège avant et la console centrale vous devrez vous contenter d’une boite à gants ridicule. Au mieux, elle peut contenir la notice de la voiture et la carte grise.
L’habitabilité progresse
Profitant d’un empattement plus long de 6 cm, l’espace profite surtout aux places arrières. Bien assis à tous les niveaux, la leon soigne également l’espace aux coudes. En revanche, question modularité, rien d’exceptionnel. Les dossiers se rabattent de manière asymétrique sur la banquette désespérement fixe. De plus, le coffre n’offre qu’un litre de plus que la précédente leon et son accessibilité est réduite par une largeur faible et un seuil de chargement élevé.
Sogecore commericalise 2 niveaux de finition pour sa Leon Référence Plus et stylance. Le premier niveau de finition offre la climatisation semi-automatique, radar de parking, régulateur de vitesses, ordinateur de bord, ainsi que toute la panoplie d’éléments sécuritaires au niveau passif et actif. airbags, antipatinage... sont donc de série mais pas de contrôle de stabilité. Pour profiter de cet équipement il faut s’orienter vers le niveau supérieur qui offrira en plus le régulateru de vitesses, les vitres arrières électriques ainsi que la climatisation automatique à réglage séparé gauche/droite.
A l’inérieur, un peu comme les BMW d’antan, le tableau de bord fait la part belle au conducteur de part sa légère orientation vers ce dernier et par la position de conduite parfaite et ajustable sur tous les plans. Le volant très vertical tombe bien en main et annonce tout de suite la couleur. Mais le sentiment premier est celui de ne pas se sentir véritablement dans une Seat. En effet, les traditionnels plastiques durs laissent place à un revêtement un peu plus tendre et des matériaux mieux assemblés. D’autre part, l’instrumentation rappelle les plus belles sportives italiennes. Surtout au niveau de la console assez massive reprenant un écran multi fonction pour l’autoradio CD et MP3. Néanmoins, notre modèle d’essai été affublé d’un couinement derrière le volant. L’instrumentation semble provenir tout droit des plus belles italiennes. En revanche, comme une auto passion point de place pour de nombreux rangements. A part, les vides poches des portières et sous le siège avant et la console centrale vous devrez vous contenter d’une boite à gants ridicule. Au mieux, elle peut contenir la notice de la voiture et la carte grise.
L’habitabilité progresse
Profitant d’un empattement plus long de 6 cm, l’espace profite surtout aux places arrières. Bien assis à tous les niveaux, la leon soigne également l’espace aux coudes. En revanche, question modularité, rien d’exceptionnel. Les dossiers se rabattent de manière asymétrique sur la banquette désespérement fixe. De plus, le coffre n’offre qu’un litre de plus que la précédente leon et son accessibilité est réduite par une largeur faible et un seuil de chargement élevé.
Sogecore commericalise 2 niveaux de finition pour sa Leon Référence Plus et stylance. Le premier niveau de finition offre la climatisation semi-automatique, radar de parking, régulateur de vitesses, ordinateur de bord, ainsi que toute la panoplie d’éléments sécuritaires au niveau passif et actif. airbags, antipatinage... sont donc de série mais pas de contrôle de stabilité. Pour profiter de cet équipement il faut s’orienter vers le niveau supérieur qui offrira en plus le régulateru de vitesses, les vitres arrières électriques ainsi que la climatisation automatique à réglage séparé gauche/droite.

Moteurs connus
Vendue en diesel à près de 80 %, Sogecore n’importe dans un premier temps que des Turbo diesel. Archi connu puisqu’ils équipent tout le groupe VAG, ce sont les blocs de 1,9 et 2,0 TDI qui tractent les Leon. Fort de 105 ch, notre modèle d’essai s’est montré parfaitement àson aise sur notre parcours. Performant, relativement silencieux et très coupleux, il limite les passages fréquents de vitesses. acceptant de repartir dès 1 200 tr/mn quel que soit le rapport engagé. Et comme tous les Tdi, il ne s’essouffle pas quand il prend des tours. C’est toujours ça de pris pour la sportivité.
un comportement enjoué
Sur la route, la Leon ravira en ville par son rayon de braquage très court ainsi que par le radar de parking arrière mais fera grincer des dents par ses flancs insuffisamment protégés. C’est sûr la voiture aurait perdu de son cachet mais elle l’aurait gardé plus longtemps. Attention donc, aux petits chocs.
En parcours extra urbain, la Leon achèvera de vous donner grand plaisir. Les trains roulants sont très rigoureux et ne surprendront personne. Facile à conduire, le conducteur cernera rapidement le caractère de l’espagnole. Vive, incisive à l’inscription et stable une fois posée sur sa trajectoire, elle rassurera également. Les plus sportifs trouveront qu’elle sous-virera un peu trop précocement tandis que la direction, probablement un peu trop assistée manque de fermeté dans la montée en effort.
Côté budget, la Leon se positionne très bien face à une concurrence affutée. A partir de 23 400 €, rare sont les berlines turbo diesel de 105 ch à pouvoir opposer perfomance, prix et prestations globales. Objectivement c’est une belle offre. Cependant, le prix neuf n’est pas le seul argument et les conducteurs choisiront leur Leon pour son caractère sportif. Famille prenez plutôt le chemin de l’Altea.
