Avec sa mouture plus mature, plus sûre d’elle, et des airs de ne pas y toucher la Corolla Verso tutoie le monde des monospaces compacts. Grâce à sa meilleure modularité, sa facilité d’utilsation et ses 7 places, la nouvelle Verso risque de semer les troubles fêtes.
Lancée en 2002, la première Corolla Verso n’a pas plus. Toyota en a pris conscience et a considérablement revu son monospace compact. Ce marché, dominé par le Scénic, est un marché porteur et il est hors de question pour le numéro un mondial de ne pas être présent sur ce marché. Ainsi, la nouvelle Corolla Verso, revient avec un style nettement plus aguicheur et surtout beaucoup plus rassurant, comme en témoigne la ceinture de caisse haute. Si la luminosité était un point fort, aujourd’hui la sécurité passive semble avoir pris le dessus. Les flancs hauts, la surface vitrée plus faible procure un sentiment de robustesse. Ses passages de roues proéminents, ses feux translucides (très à la mode dans le monde du tuning), son bossage sur le capot et ses lignes très tendues sont bien au goût du jour. On est loin aujourd’hui de la molesse des lignes japonaises. A notre avis, la Corolla Verso est la plus réussie des Corolla car elle combine habilement tous les traits qui plaisent. Vous pourrez croiser ce véhicule avec des barres de toit façon alu du plus bel effet. Ce sera d’ailleurs le seul moyen esthétique de reconnaitre les 2 finitionsTerra et Luna.
7 places faciles
Construite sur un empattement identique, la Corolla deuxième génération reste néanmoins habitable. En prenant 12 cm, ce nouveau Verso y ajoute également 2 sièges supplémentaires cachés dans le coffre, portant le nombre total de places assises à 7. Certes, la troisième rangée s’adressera surtout aux enfants, mais les adultes pourront s’y loger presque sans peine. Ce système baptisé Toyota Easy Flat-7™ apporte 32 combinaisons possible d’aménager l’espace intérieur. Les sièges de la seconde rangée coulissent individuellement sur 24 cm, peuvent s’incliner selon un angle de 30° et basculer vers l’avant pour permettre l’accès à la troisième rangée, complètement escamotée dans le coffre. En cas de besoin, tous ses sièges se rabattent en laissant un plancher complètement plat. Sans avoir à retirer quelconque appuie-têtes ou avoir à avancer exagérément les sièges avant.
Une modularité exceptionnelle entachée néanmoins par des espaces de rangements compté. Excepté les aumonières au dos des sièges avant, les bacs de portières pouvant accueillir des bouteilles et divers rangements sur le tableau de bord et la console centrale, la Corolla Verso n’apporte rien de neuf dans le segment. Ni trappes dans le plancher, ni rangements dans le toit, ni tiroirs sous les sièges. Sur ce point la concurrence fait mieux à l’instar du volume de coffre plutôt banal, sans parler de sa contenance en définition 7 places (63 litres ou 91 litres de disponibles selon que l’on compte l’espace jusqu’au toit dans le coffre)
Habitacle original
Dommage, surtout que l’habitacle est réussi tant dans le design que la finition. L’assemblage est précis, les matériaux ont été choisi en gardant à l’esprit la solidité dans le temps. Ca devient une coutume maison, la console centrale et les portières reçoivent des inserts métallisés et l’affichage et les commandes de l’air conditionné sont entourées d’un bleu-vert transparent, donnant une apparence high tech.
Les sièges procurent un réel confort quelque soit l’endroit où l’on se trouve tant en maintien qu’en moelleux. Les accourdoirs indépendants à l’avant apportent un plus sur long trajet. Le confort est excellent. Les suspensions, assez fermes, absorbent bien les inégalités et en silence tandis que les brutis aérodynamiques sont inexistants.
Reste un moteur qui se fait parfois entendre en charge.
Le conducteur trouvera une position de conduite agréable grâce au volant réglable dans les deux plans et une ergonomie sans faille. Les commandes tombent naturellement en main et le levier de vitesses assez haut perché est très facile d’accès. Dommage que son maniement soit assez imprécis et que ses verrouillages manquent de franchise.
Un comportement sans histoires.
Sur la route, la Corolla Verso est bien éduquée. Le roulis est maîtrisé, les réactions sont saines, prévisibles et la vivacité correcte. Du tout bon, du sans histoire, mais cela manque néanmoins un peu de vie. Mais conviendra au plus grand nombre et surtout à la gente féminine assez peu encline à une conduite très dynmaique.
Actionné via un bouton poussoir start-stop, le moteur a pris du galon. Passé à 116 Ch au lieu de 90, ce moteur lui permet d’avoir de réelles aptitudes routières. Le couple maxi de 280 Nm à 2 000tr/mn permet de bonnes relances pour une voiture frolant la tonne et demie. Notons quand même une certaine molesse en deça de 1 800 tr/mn, pénalisant une conduite trop coulée en montagne. Pour tenter de contrecarrer ce défaut, une boite 6 aurait été bienvenue. La consommation est la bonne surprise, un trajet mixte route/ville nous a permis, selon l’ordinateur de bord, de ne consommer que 6,7 l/100 km. Pas mal pour un engin de ce gabarit. L’autonomie aurait profité d’un réservoir de carburant plus conséquent.
Disponible en 2 niveaux de finition, la Corolla Verso représente un choix à ne pas négliger pour qui souhaite un véhicule offrant 7 places, une modularité et une facilité d’usage non négligeable. Sans surprise, elle conviendra parfaitement à la majorité. Et pour finir de convaincre, elle jouit de la belle réputation de Toyota en terme de fiabilité.
La Corolla Verso également en version essence 1,6 VVTI de 110 Ch (23 950 €) et en finition diesel Terra et Luna.
Terra possède de série : ABS, 4 airbags, climatisation, condamnation centralisée des portes avec télécommande, Direction assistée, radio laser, avec commandes au volant, rétroviseurs électriques, 4 vitres électriques, Anti-brouillard, jantes alliage. (26 950 €)
Luna : idem Terra + Contrôle de stabilité VSC et antipatinage TRC, la climatisation automatique, essuie-vitres automatiques et rétroviseurs électrochrome, rails de toit. (30 350 €).
7 places faciles
Construite sur un empattement identique, la Corolla deuxième génération reste néanmoins habitable. En prenant 12 cm, ce nouveau Verso y ajoute également 2 sièges supplémentaires cachés dans le coffre, portant le nombre total de places assises à 7. Certes, la troisième rangée s’adressera surtout aux enfants, mais les adultes pourront s’y loger presque sans peine. Ce système baptisé Toyota Easy Flat-7™ apporte 32 combinaisons possible d’aménager l’espace intérieur. Les sièges de la seconde rangée coulissent individuellement sur 24 cm, peuvent s’incliner selon un angle de 30° et basculer vers l’avant pour permettre l’accès à la troisième rangée, complètement escamotée dans le coffre. En cas de besoin, tous ses sièges se rabattent en laissant un plancher complètement plat. Sans avoir à retirer quelconque appuie-têtes ou avoir à avancer exagérément les sièges avant.
Une modularité exceptionnelle entachée néanmoins par des espaces de rangements compté. Excepté les aumonières au dos des sièges avant, les bacs de portières pouvant accueillir des bouteilles et divers rangements sur le tableau de bord et la console centrale, la Corolla Verso n’apporte rien de neuf dans le segment. Ni trappes dans le plancher, ni rangements dans le toit, ni tiroirs sous les sièges. Sur ce point la concurrence fait mieux à l’instar du volume de coffre plutôt banal, sans parler de sa contenance en définition 7 places (63 litres ou 91 litres de disponibles selon que l’on compte l’espace jusqu’au toit dans le coffre)
Habitacle original
Dommage, surtout que l’habitacle est réussi tant dans le design que la finition. L’assemblage est précis, les matériaux ont été choisi en gardant à l’esprit la solidité dans le temps. Ca devient une coutume maison, la console centrale et les portières reçoivent des inserts métallisés et l’affichage et les commandes de l’air conditionné sont entourées d’un bleu-vert transparent, donnant une apparence high tech.
Les sièges procurent un réel confort quelque soit l’endroit où l’on se trouve tant en maintien qu’en moelleux. Les accourdoirs indépendants à l’avant apportent un plus sur long trajet. Le confort est excellent. Les suspensions, assez fermes, absorbent bien les inégalités et en silence tandis que les brutis aérodynamiques sont inexistants.
Reste un moteur qui se fait parfois entendre en charge.
Le conducteur trouvera une position de conduite agréable grâce au volant réglable dans les deux plans et une ergonomie sans faille. Les commandes tombent naturellement en main et le levier de vitesses assez haut perché est très facile d’accès. Dommage que son maniement soit assez imprécis et que ses verrouillages manquent de franchise.
Un comportement sans histoires.
Sur la route, la Corolla Verso est bien éduquée. Le roulis est maîtrisé, les réactions sont saines, prévisibles et la vivacité correcte. Du tout bon, du sans histoire, mais cela manque néanmoins un peu de vie. Mais conviendra au plus grand nombre et surtout à la gente féminine assez peu encline à une conduite très dynmaique.
Actionné via un bouton poussoir start-stop, le moteur a pris du galon. Passé à 116 Ch au lieu de 90, ce moteur lui permet d’avoir de réelles aptitudes routières. Le couple maxi de 280 Nm à 2 000tr/mn permet de bonnes relances pour une voiture frolant la tonne et demie. Notons quand même une certaine molesse en deça de 1 800 tr/mn, pénalisant une conduite trop coulée en montagne. Pour tenter de contrecarrer ce défaut, une boite 6 aurait été bienvenue. La consommation est la bonne surprise, un trajet mixte route/ville nous a permis, selon l’ordinateur de bord, de ne consommer que 6,7 l/100 km. Pas mal pour un engin de ce gabarit. L’autonomie aurait profité d’un réservoir de carburant plus conséquent.
Disponible en 2 niveaux de finition, la Corolla Verso représente un choix à ne pas négliger pour qui souhaite un véhicule offrant 7 places, une modularité et une facilité d’usage non négligeable. Sans surprise, elle conviendra parfaitement à la majorité. Et pour finir de convaincre, elle jouit de la belle réputation de Toyota en terme de fiabilité.
La Corolla Verso également en version essence 1,6 VVTI de 110 Ch (23 950 €) et en finition diesel Terra et Luna.
Terra possède de série : ABS, 4 airbags, climatisation, condamnation centralisée des portes avec télécommande, Direction assistée, radio laser, avec commandes au volant, rétroviseurs électriques, 4 vitres électriques, Anti-brouillard, jantes alliage. (26 950 €)
Luna : idem Terra + Contrôle de stabilité VSC et antipatinage TRC, la climatisation automatique, essuie-vitres automatiques et rétroviseurs électrochrome, rails de toit. (30 350 €).
